Le 11 mai , Danny Sullivan de Google a fait supprimer du programme de certification en ligne toute la partie portant sur la densité des mots clés. Cette suppression viendrait du fait que les référenceurs et les rédacteurs de contenu seo se concentrent trop sur la fréquence, voire sur le nombre de mots clés. J'ai expliqué dans d'autres articles du blog que l'importance sémantique n'est pas liée à la récurrence ni à un pourcentage, mais que la qualité, l'utilité de l'information et l'intention de l'utilisateur priment.
Hé bien, pour les porteurs de projets qui douteraient encore de ces affirmations, la suppression mise en œuvre par le moteur de recherche devrait être un signal à prendre au sérieux en ce sens !
Je note en tant que spécialiste en référencement Google, que la très grande majorité des sites Internet existant depuis plusieurs années avec un volume intéressant de rédactionnels, trouvent l'origine de leurs soucis de ranking dans l'emploi des mots clés et de leur mise en avant. Souvent les responsables SEO regardent les préconisations de mes audits avec un œil réprobateur, mais leurs responsables marketing appuient cette mise en œuvre puisqu'ils recherchaient un consultant pour l'expertise manquante.
Une fois les préconisations déployées, le positionnement des sites changent. Les requêtes aussi. Plutôt que chercher l'utilisation d'une densité de mots clés, je conseille d'affiner sur l'intention de l'utilisateur, donc de changer de stratégie éditoriale. Il s'agit de la construire autrement, de structurer le contenu rédactionnel différemment, et de travailler le maillage interne avec subtilité pour donner du sens aux silos sémantiques. Le Top3 est l'objectif, cela vous conviendrait ?
Les conséquences de le stratégie ci-dessus sont une baisse des positions sur les mots clés toxiques pour l'activité (les curieux, les demandes sans suite, l'absence de budget, etc.), et une montée dans les pages de résultats sur les requêtes générant du bon lead : demande de devis, appel téléphonique, vente, etc. Ceci montre bien que vous pouvez réussir sans que votre spécialiste SEO ne se focalise sur la récurrence et le nombre de mots clés. Il faut juste choisir ceux qui sont utiles et les articuler dans les règles de l'art. Ou des algorithmes !
Pour illustrer, un porteur de projet situé à Bussy saint georges en Seine-et-Marne cherchait une rédactrice pour du long terme. Souhaitant que les articles des blogs de ses clients soient optimisés pour le pour le référencement naturel, il donnait dans un brief les mots clés à utiliser et leur récurrence. Ce dernier critère contrevient aux bonnes pratiques. Aussi bien pour l'optimisation des pages Web que pour l'UX – l'expérience utilisateur –.
Une seconde illustration est l'audit qu'une société m'a confié, pour augmenter le positionnement de leur site institutionnel visant à obtenir 2 types de conversions référencement naturel -1-> visiteurs qualifiés -2-> demandes d'informations exploitables. Les concurrents mieux placés dans les SERPs montrent une utilisation plus légère de la fréquence des mots clés, une meilleure optimisation de la structure des rédactionnels, et une information venant répondre à une intention de recherche évidente.
J'ai mis en place un système de traitement de données de vos concurrents, permettant de mettre en évidence plus rapidement les mots clés et les intentions utilisateurs auxquelles le site considéré s'adresse. Un expert en référencement peut interpréter et exploiter facilement ces données. Les résultats sont très positifs, notamment pour créer la charte éditoriale qui vous convient. Le rédacteur Web la met ensuite en œuvre. Aucune récurrence de mot clé n'est mesurée, et ça marche très bien.
Les logiciels payants et gratuits utilisent du scoring, en affichant des pourcentages. A titre personnel, je m'en fiche. L'expertise porte sur de la sémantique et son articulation affinée, pas sur des pourcentages. Les chiffres sont à réserver aux KPIs, pour mesurer les bons résultats. Le SEO est une affaire humaine, pas de logiciel qui calcule. L'humain fait les choix, le spécialiste cherche, pèse et définit pour prendre la bonne décision stratégique. Dans ce travail, la veille est importante, il faut suivre de près les annonces de Google, trouver des brevets, etc. Les logiciels ne font pas cela et peuvent pas en tenir compte. L'expertise du consultant trouve les bonnes relations sémantiques, ce qui évite tout conflit sémantique entre les mots clés et les intentions des utilisateurs.
Les annonces de l'ancien PDG de Google valent prédictions ! Les visions d'Eric Schmidt sont souvent perçues comme fiables en matière de SEO. Une récente interview appelle les experts à se préparer à des changements futurs pour garantir la pérennité du référencement naturel. Il souligne l'importance de l'intention utilisateur et de l'utilité du contenu, et prédit la fin des liens bleus dans les résultats de recherche, rendant l'information directement accessible sans cliquer sur des liens externes. Cela modifie profondément le rôle des rédacteurs SEO, qui doivent se concentrer davantage sur l'expérience utilisateur et la valeur ajoutée du contenu. Le SEO doit intégrer des stratégies en lien avec ces évolutions pour rester efficace.
Notez que je ne vends pas le système, ni de licence. Je l'emploie pour mes clients, c'est tout. Ce qui fait leur succès respectif, c'est l’œil de l'expert et la mise en place de la meilleure solution, rien d'autre.
J'ai besoin de l'expert / consultant pour m'aider